Ultimi preparativi, neanche sonno,
dunque (quindi) in mezza notte, senza dormire , me ne vado tale un «
salmone »risalire il fueme dela mia vita. Affinchč colletare le mie informazione
al riguardo a miei antenato .
Miei antenati č angosciato ché lascio FAVERGES in chesta domenica, a
l’ora a i notambuli deambulano č distillano loro solitudine. Sta l’ocasione
di testare i miei abiti di lucce, Il moi illuminazione č la mia buona
stella.
La circolazione si fa calma il vale si muové tranquillamente, MOUTIERS,
Primo spavento, sono preso a parte dei giovane ubriacati uscente di nigt-club.
Dopo BOURG ST MAURICE, questa strada di vale
e poco interessante, ma calma a Quest’ora.. Comincia la lunga ascenzione
verso il col del Piccolo san.BERNARDO di riluvio
il confino del territorio francese
Il giorno č gia comiciato č le montagne della VANOISE si schiarano progressivamente, LA DENT PARACHEE maestosa č bellissima,
sormontatadel suo ghiaccio. Andatura tranquilla č con agilta, mi fermo
qualche volte per dormire un po. Doppo LA ROSIERE i condizione cambiano,
la montagna la vera č di qua, la vegetazionesi fa rara il vento di faccia
si alsa,rendendo la progressione difficile. I antichi ospizi sonno sempre
presenti un po prima della cima del passo. OUFA la cimma finalmente a
destra LANCEBRANLETTE č a sinistra LE MONT-BLANC vistotaglio č particolarmente
impressionante. Ecco l’Italie, la circolazione č adesso forte risorgano
alora tutti ricordi dei viaggi di mia giovinezza (IN ITALIA CON LA FIAT
) Ecco sonno sulla grande strada, AOSTA stouffa č io crollo quando un
raggio cede inopinamente.per fortuna i seduti di sofrologia di FRANCOISE
B.. mi aiutano aggiusto rapidamente malgrado il sudore sgocciolando
sul mio fronte SONNO BAGNATO ( (DELLA TESTA A I PIEDI) In questa brutta
vale il forte vento di faccia č il calore malgrado la( DOREA BALTEA) Scaricando
la sua acqua verde schiumante rende l’avanzata difficile. IVREA, VERCELLI, del riso et anchč del grano turco
a perta di vista. Un po dopo MORTARA un magnifico
campo di grano turco mi proposa il suo accoglio doccia borraccia ma con
saponetta e acqua scaldata nei mie borracci tutta la giornata sulla mia
FANNY.
Mi scivolo furtivamente sotto la tenda afinché sfuggiare alle zenzare. |
Lundi, 2eme jour
aller : Mortara Nervesa 350 km
Fatigué je le suis , bien
que la nuit fut calme, me voici réveillé en sursaut a 5
h, et sans hésiter, je suis prestement on « the road again
» , en moins de temps qu’un escadron en alerte , motivé
par les moustiques.
Grain turc, riz, camions , et vigne , circulation intensive sur une route
dite « statale « et peu large, mais les italiens visent mal,
car à plusieurs reprises le coup passa si près que ma casquette
tombât.
L’Italie grouille, l’Italie se grouille et moi, je me dépêche
afin de ne pas finir en civet de cycliste
J’opte pour le centre ville de Pavia
afin de voir autre chose de l’Italie
Belles façades ocres, jolies filles a la peau tannée, pavés,
terrasses et dolce vita , cette bourgade me charme. , mais il faut reprendre
rapidement l’asphalte.
La chaleur étant insupportable, je dois marquer plusieurs pauses
.
A Crema, un café bien entendu, afin d’essayer
d’éponger la précédente nuit sans sommeil.
Je continue à visiter les stations services, qui proposent des
boissons énergétiques et la bière à des prix
raisonnables.
La circulation est infernale, épouvantable, le moindre écart
peut me conduire à la mort c’est la roulette italienne :
vais je servir de viande hachée au risotto ?
Heureusement nous sommes non loin de Modena, la pays de la ferrari, les
lignes blanches et les sémaphores ne sont qu’une toute petite
indication
C’est promis « Plus jamais ça «
Marre du mais, marre du riz, marre des camions, j’opte à
nouveau pour Lodi centre « oh les belles fesses,
elles ne sont pas à mathieu mais belles et bien à callipyge, une des déesses
italiennes »., j’adore l’Italie et les villes italiennes
A Desenzano le long du lac de Garde, un petit air d’adriatique
plane au dessus de la région : palmiers, touristes, et de nombreuses
péripatéticiennes proposent leurs charmes entre asphalte et mais : «
sordide et affligeant »
Celles ci m’encouragent d’un signe de la main, charmant, à
moins que ce soit un signe de détresse. « Non merci, excusez
moi, mais j ai mon cycle leur dis-je en substance»
A défaut de beaux panoramas j’ai le temps de lire les nombreux
panneaux qui longent la statale
Quelques uns sont étonnants , tel le premier :
« Mr Kazanova propose des robes de mariées » , cela
ne s’invente pas Tel le second propose de la publicité pour
un sexe shop », l’Italie est vraiment étonnante.
Après un petit détour sur l’autoroute que je suis obligé
de quitter en portant Fanny sur le dos, Verona la belle
enfin.
Pas le temps de visiter bien sur, car j’ai toujours mon cycle, de
plus il est déjà l’heure de l’apéritif du soir, et Franco
le cousin italien doit déjà s’impatienter devant une ombra.
Clic clac, la place, les arènes, les flâneurs , Verona
tu es belle, je reviendrai sans mon cycle, avec une autre belle peut être.
Castelfranco enfin, la Vénétie la vraie,
sur une petite route de campagne, la vigne, les trattorie, la forte odeur
de mais, tout me rappelle cette Italie que nous connaissions « une
volta » , durant les vacances.
625 km d'enfer pour un peu de bonheur.
A présent la nuit est bien avancée, les italiens discutent
sur les places, les batraciens croassent, , la nuit italienne est envoûtante
La nuit noire a présent, les panneaux inexistants en italie, “scusi
la strada per”, je suis obligé de réviser mon italien, hanté
par la peur de finir au fond d’un champ de mais, mais je m’en
sort plutôt bien, puisque me voici presque arrivé.
Giavera, Bavaria , la via del paradiso
enfin, la dernière côte menant a la maison de mon grand père, et
à présent de mon cousin : est tuante.
21 h franco très inquiet est bien la . Ouf, Ciao, “bevi une
ombra ....... ” |
1er jour Retour Nervesa della
battaglia (Vénétie) – Castiglione 238 km
Le carillon, de Nervesa
égrène sa mélodie, l’orage gronde au loin,
la venetie qui a soif attend impatiemment cette pluie .
J’opte pour les petites routes , en effet le parcours entre campagne,
canaux d’irrigation, est envoûtant, mais je louvoie, les kilomètres
s’accumulant parfois en boucles.
Je suis obligé de sortir de ma réserve légendaire
« Scusi la strada per « . « Prima a sinistra, dopo primo
il secondo grain de mais… »
Apres cette partie de campagne , A Vicenze je retrouve
la ville , le centre est tellement beau que j’en effectue deux fois
le tour
Je réussi a éviter Verona et sa
marche d’approche sur ses artères grouillantes.
Me voici a nouveau en Lombardie, « orage o désespoir »
d’immenses éclairs zèbrent toute la voûte céleste,
la pluie cingle ma capote, mais Fanny résiste
Tête baissée dans le guidon, yeux fermés je dors presque
« Ciao ciao « entends-je tout a coup, « Tiens,
déjà un ange qui m’accueille en enfer ? » Ma
dio bestia, c’est Callipyge
de Mantoue qui vient de me doubler.
Voici miss mais, à VTT,
ruisselante de pluie dans son body, à damner un sacristain.
« T’es d’où toi lui dis je dans la langue de Dante
? » « Nous conversons quelques trop courtes minutes »,
je lui propose un petit coin de parapluie, ou la moitiè de ma capote moite »
mais : damnation, la pluie cesse et nous devons nous séparer.
Chacun sa route, chacun son chemin, la pluie bienfaitrice ayant cessé,
je louvoie sur de belles collines.
Solferino, Rivoli, non , nous ne sommes
pas à Paris, mais bien sur les lieux de batailles de Napoléon.
La pluie ayant repris, je décide de dormir sous le préau
de la salle paroissiale d’un hameau de Castiglione
Ou Don Andrea et ses ouailles m’offrent un café.
«Roublou rababla » , nous parlâmes ainsi l’italien,
le vrai , la bière aidant, l’occasion est belle , le curé
intéressant en effet, ici, en Italie on parle essentiellement le
patois , le dialecte local.
Et si en Vénétie je comprends cette douce musique , les
Lombards, ces sauvages je ne les entends pas du tout.
La nuit sera donc à l’ombre de la chiesetta gérée
par Don Andrea.
|
3eme jour retour Torino Faverges
216 km
Il fait encore nuit, mais je dois
filer d’ici, avant que la circulation et les moustiques ne me tuent.
Les Alpes sont à nouveau la, devant moi, la route est belle et
déserte, les camions étant considérés comme
« personna non grata » ce jour , et moi je n’en fini
plus de me gratter la moustiquaire. Susa
, assez riz, je suis au pied du col du mont cenis.
Apres avoir fait le plein de boissons et victuailles, j’aborde,
non sans appréhension, ce dernier obstacle, qui nul doute sera
difficile .
Le compteur n'indique plus qu'un seul digit durant ces
30 kilomètres d’ascension , difficile et interminable malgré
le paysage grandiose.
Mais si la circulation est presque inexistante à son début,
elle devient plus consistante sur le sommet , où, les : Marcel, Renato
et autres bofs sont légion dans leur mobile home.
Han, han, le col , la France, la
dent parrachee en face est encore la, à moins
que ce ne soit un autre sommet, à vrai dire , je m’en fou.
Ouf la descente, mais le fort vent de face dans la vallée de la
Maurienne rend la progression pénible, malgré la circulation
fluide depuis l’avènement de l’autoroute.
Aiton , Loana la
boulangère, ayant mis ses miches au repos, car il est lundi, c’est
en tapant dans les graisses que je rentre péniblement en Favergie.
Il est alors 19 heures : Repos du guerrier. |