Récit de randonnée : Genève - Faverges : Le Retour

13-02-2022 maj 14-02-2022 Fiche contact

C'est par le chemin inverse , que nous repartons en direction de la Favergie

Quittant la Suisse, par Veyrier et Le Pas de l''échelle, nous rejoignons Etrembières le long de la fumeuse D 1203 en serrant les fesses, notamment au passage du pont qui enjambe l'autostrade.

Mais une voie dite verte est à l'étude, dans ce secteur, du moins parait il : attendons encore une vingtaine d'années, le temps que les chairs du claudio soient bouffées par les vers.

Il faut à présent, s'employer pour rouler sous le Salève en direction de La Muraz : la circulation est relativement tranquille, ce dimanche après midi, les autochtones étant devant la télé à regarder les Œufs olympiques, ou Michel Drucker pour les plus sportifs.

Malgré un bon flux de sud, freinant l'avancée, les jambes sont assez bonnes, laissant le loisir de regarder à droite les contreforts du Salève et à gauche les prairies dominant la vallée de l'Arve.

Cote 844 m,lieu dit "Chez Fauraz" nous n'irons pas en direction de Cruseilles, mais tournons à gauche, comme le suggère le Gps, à qui pour la Premiere fois nous avons confié la tâche de nous guider, bien que la carte Michelin suffirait largement : Histoire de ne pas avoir dépensé quelques euros pour rien .

Nous sommes à présent sur le plateau des Bornes à un altitude variant selon les crêtes et les combes, de 800 à 900 m : la contrée dépourvue de neige est encore intacte , peu de constructions neuves viennent polluer la beauté sauvage des lieux.

Nous retrouvons comme à l’aller Menthonnex , Fontaine Vive, et puis Groisy, où le joujou Ps, pète carrément les plombs, ne sachant où m'envoyer.

Peu importe, nous nous posons un instant à admirer les montagnes posées en face, les glieres et le massif des Bauges un peu plus loin, endimanchées d’un beau voile de neige

Et puis nous voici à nouveau au pont de Brogny, après un bref passage sur la grand route (Gégé ps n'ayant pas trouvé les petites routes passant par Argonay le haut (faudra étudier a casa ces passages).

La traversée d’Annecy par l'avenue de Genève ne pose pas de soucis, l’arrivée au Pâquier, noir de monde, est un peu la foire d'empoigne.

Calmos, nous passons tranquillement à pied, pour sortir en direction de la Favergie, chère au claudio, par la piste cyclable, beaucoup plus calme, alors que le soleil a disparu derrière le Semnoz mais éclaire encore la Tournette, et que la nuit ne va pas tarder à tomber, ainsi que la ,fraicheur.

Arrivée à tomme, encore une fois vivant : A vous Conacq- jay..