Reconnaissance de la véloroute de la vallée de l'Arve Chamonix Mont blanc Léman Octobre 2016
Récit de la reconnaissance 2016 du claudio, en vallée d'Arve
Claudio et Fanette profitent de ce bel été indien, pour aller 
péripater en vallée d'Arve afin de voir si les routes sont enfin cyclables.
Parti de Genève, notre couple infernal monte dans le Ter en gare d'Annemasse en compagnie de nombreux voyageurs.
C'est sans encombre qu'ils descendent au Fayet de Saint Gervais, et première surprise le train pour Chamonix n'est pas .. c'est un car Lihsa qui assure l’intérim
La route de Vaudagnne étant fermée, il est impossible de rallier Chamonix à bicyclette : Nous n'insisterons pas, et filons vers la vallée..
Sortis de la gare, nous tentons sans succès de longer la voie ferrée, car la route est barrée un peu plus loin.
C'est donc par la D 1205, aux bas cotés pourris et dangereux que nous arrivons au giratoire de Sallanches - Servoz : Droite et gauche un plus loin où un danger est réel puisqu’il nous faut couper la route pour nous diriger par une petite voie, et longer la ferrée menant au lac de Passy
Une traversée de la voie dite ferrée, et nous rallions le Pont Saint Martin par une route secondaire.
L’œil exercé de Fanette, remarque que la balise vélo est tombée, mais il suffit de passer sous le pont de' l'autoroute pour trouver la voie dite verte jouxtant le vieux pont de pierres sur l'Arve bien Evidemment.
La belle voie verte longe alors l'autoroute sur .. 1 km. Et puis par un petit coup de rein, nous rattrapons la route de Luzier afin de boire un café chez Arlette à Oex.
Le passage est ensuite bien sécurisé juska Magland, grâce à la grande bonté du CD 74, que les cyclos s'empressent de remercier par quelques boniments bien appuyés.
Magland : plus de balises ; danger pour l'étranger et les cyclistes sur 5 km.. sur cette D 1205.
Claudio affirme ; que place ya, pour une voie verte juskau giratoire, après cela semble plus compliqué mais à voir..
il serait bien que les cyclos aillent voir sur place et fassent des propositions ..
Cluses enfin, nous optons pour le centre ville et la direction de Taninges , pour trouver la voie dite verte, ressemblant plus à un gmkana le long de la voie de chemin de fer, et ceci juska Marignier.
Marignier 1515 route défoncée, saturée ; enfer et damnation ..
Mais par une petite route à gauche, dénichée par Gilbert en 2015; nous arrivons à la ZA de Ayse.
Fi du mousseux de Belluard, nous filons directement juska Bonneville où dailleurs, Fanette me fait remarquer que les zotorités dans leur grande bonté ont supprimé tous les panneaux vélo, et ceci sans crier gare .. "Les cyclistes ce sont fait un peu berner, pour rester polis ..".
Nous traversons Bonneville à l'instinct par le centre ville, histoire de recharger les graisses, et par la fameuse côte d'Hyot, bien connue des couraillons de la FFC des débuts de saisons.
"Tiens un nouveau giratoire a été déssiné au pied de cette bosse de 6.2 km", pas méchante il faut bien l'avouer puisque la pente n'est que de 3 % en moyenne, permettant de jeter un œil furtif sur la vallée et l'autre sur la route à circulation moyenne mais non dépourvue de quelques ânes derrière un volant.
C'est juste après Faucigny, que nous basculons à gauche en direction de Bonne sur la Menoge ; ville engluée dans une circulation dantesque, faut dire que ces villes dortoirs abritent ses habitants attirés comme les mouches à merde par la cité de Calvin.
Nous échappons à cette circulation dingue et la D 907, par une petite route longeant la Menoge pour revenir sur la Bergue par une côte particulièrement assassine.
Borly c'est le bordel et la circulation dingue, de nouveaux aménagements sont en cours, mais rien pour les vélos comme d'hab :; "merci !", merci qui ? : merci le CD 74 ; ah c'est pasnous, merci les Pasnous..
C'est donc à l'instinct et par la ZA que nous arrivons à Bas Monthoux et puis dans les faubourgs d'Anne
masse par la future voie dite verte
, qui nous semble t il ressemblera plus à un gymkana..
Si le centre ville d'Annemasse est équipé par endroits de bandes dites cyclables , malheureusement servant de stationnement , la proche périphérie est dangereuse, car peu aménagée et saturée.
Nous prenons la direction de Genève par la route de Genève à droite le long du chemin de fer, tranquille, sauf quand tout à coup un taré en bagnole manque de nous envoyer prestement en enfer.
Par les berges de l'Arve, voici Gaillard et ses serres, nous nous jouons avec délectation de la route entourée des fruses s'en revenant de la ville voisine.
La route est à priori calme, mais défoncée et affublée de quelques dingues en bagnole.
Nous Passons cependant Gaillard, la frontiere en catimini, Villette et Genève par la route de florissant : Ouf