Après plusieurs zannées d'abstinence, claudio essaye de grimper Ra nouveau ce col de leschaux : Bien que la pente soit douce, l'effort est important à hisser son quintal, sur une Fanny vieillissante.
Doublé par 35 coureurs et coureuses dont quelques callipyges , claudio réussit malgré un essouflement à rallier la pancarte sommitale comme une centaine de cyclos en ce dimanche .
Le temps est magnifiquement beau, malgré une forte bise, c'est par Faverges la piste cyclable st jorioz et la route de Saint Eustache que je franchis le col de Leschaux.
Malade de statistique je compterai alors 172 cyclistes sur la via Anneci , 11 en montant les chaussettes et 16 en les redescendant : Quand je vous dis que ce col est le plus couru de france et de Navarre réunis.
Tout est vert pomme, bleu roy, la circulation minime, mais les appuis n'y sont pas.
Bon an mal an le col est atteint alors que quatre cyclos moins sympathiques que les boeufs qui paissent aux alentours ne me voient même pas.
Basculant tranquillement par le D 992 en direction de Sevrier, j'ai le loisir de photographier le lac : "Oh lac suspend tes vols ", c'est vrai que c'est beau bordel.
Un petit arrêt au Big Jump chez paulo Couty, le roi du tour du lac CLM, et la bise aidant je retrouve mes salades, mon verger et mes chaussettes.
Après les pluies d'hier, le ciel est lumineux, mais l'ambiance est fraiche, les montagnes magnifiques sont saupoudrées d'un joli voile blanc.
C'est depuis la piste cyclable , par le D 10 A, depuis St jorioz Paterier Le Puget Le Cruet St Eustache La chapelle st Maurice et enfin le col
L'avancée est pénible, la pédalée lourde, le souffle court, mais qu'importe la route est calme, tout est verdure, les oiseaux s'en donnent a cour joie.
3 cyclistes vus en montée et 10 lors de la descente.
En cette Saint dica, que de monde sur la piste cyclable, c'est assez agréable, des petits, des ronds, des blancs, des balconnets : J'en prends plien les yeux.
C'est par st jorioz et Entredozon, le plus beau cheminement que je grimpe le col.
Si la chevauchée est d'abord agréable et calme, dès le D 992 atteint, les motos (18) et les vélos (10) sont légions.
Bien que la pédalée soit lourde, la fatigue est moindre qu'hier .
(17 vélos vus dans la descente)
Le vent du Nord est à décorner les boeufs : le temps est assez frais, c'est par Sevrier sur la classique D 912 que je grimpe dans la fraicheur ce joli col.
Toujours sous la protection d'un bon vent, heureusement, je grimpe par la route des Lornards.
La pente courte (1.7 km) mais assez rude a le don de générer pas mal d'acide lactique.
Mais la vue du lac d'une couleur incroyablement bleu caraibe en vaut bien la pédale.
Rejoingnant la classique D 992, voici péniblement le col : pris dans l'élan, je bacule vers Lescheraines La Charniaz et le Chéran
Top départ donné au pont du Chéran dans le village de Lescheraines, c'est dans le vent à présent que je grimpe le col , pas long, pas difficile, dans la verdure, sous l'oeil glauque des bovidés, alors que les Massey Ferguson s'afférent à rentrer les foins fraichemnt coupés.
La circulation est non négligable, surtout de motards, dont certains sont franchement en colère : 28 qu'ils seront ces deux temps sur la montée, car j'ai toujours cette manie de compter.
Maso, nous voici Fanny I, sur la route de la Marteraie (132 m pour 1.41 km soit 9,4 %).
Je n'ose avouer ni le braquet, ni la vitesse utilisée.
C'est dans un état pitoyable que je rejoins la route classique, me laissant ainsi le loisir de jeter un gros oeil sur le lac bleu turquoise, à l'ombre des sapins, dans une relative tanquillité.
Alors que je sirope amoureusemnt l'eau froide de la fontaine sommitale, arrive Roger, pas Lapébie qui chante, mais Roger de Faverges. A tout les deux nous accusons deux quintaux.
La descente tranquille sera l'occasion de faire le plein de fraicheur.
Piste cyclable arpentée, nous voici à Sevrier plage entre connards en campings cars et callypiges en goguette.
La route des choseaux , s'attrape alors depuis la fameuse voie cyclable, en face de l'hotel Beau Rivage.
La suite n'est qu'un diaporama du lac, et malgré une avancée face au vent, à ras l'infractus, me voici pour la 500 eme fois au col de Leschaux.
Magnifique parcours à part un taré du cru, cuit visiblement qui confond route de campagne, et circuit automobile : en bagnole
Par la route de Cessenaz, un raccourci le chemin des Cardères, engendrant une bosse monstreuse ; 800 m à 18 %
Avec Fanette, il a fallu mettre le 28*32
Fanette, ma nouvelle compagne, choisie pour battre la campagne, allègre sur la piste cyclable chauffée à blanc par le soleil de juillette. Mais l'avancée est rendue pénible par ce foutu vent du Nord.
Cette fois ci j'aborde le col par la route de Cessenaz, plus facile que ce dimanche, mais tout de même, il faut s'employer pour retrouver la D 992 peu après le camping.
La vue sur le lac est bin entendu magnifique, endirphinatoire.
La chaleur est lourde sur cette rampe qui frise les 8 %, mais la fraicheur des sous bois qui mène au col est bienfaitrice ; heureusement car les zapuis ne sont pas bons, la fatigue se fait sentir.
A l'eau de la fontaine de jouvence du col, ne manque qu' un petit gout anisé.
Je plonge sur le bassin de Lescheraines pour la suite..
Lescheraines : chaleur étouffante sur la rude pente qui mène au hameau de saint Martin en Bauges.
Le vallon s'ouvre,offrant à ma vue les cols des Bauges.
Les belles maisons germanmiées du hameau de saint Martin donnent un air ancien au paysage.
Par un chemin caillouteux, je rejoins le Villaret et puis Bellecombe en Bauges, pour terminer tranquillement par la route en sous bois menant au col que revoilou.
La chaleur est encore forte, malgré le vent : Grimpant tranquillement par Entredozon, et puis la D 912, je bénéficie de la fraicheur du sous bois.
La circulation est faible, si ce ne sont quelques motos en goguette.
A deux kilometres du sommet, je tourne à droite pour grimper une pente assez rude de 1 km menant à la Bauche.
L'effort n'est pas négligeable, mais le détour vaut comme disait le Michelin : La vue se dégage sur le lac et puis les montagnes des Bauges, entre fermes, sapins et puis paturages.
Arrivé ainsi au village de Leschaux, il suffit de descendre quelques mètres pour passer le col et rejoindre la piste cyclable par le chemin d'Entredozon et des écoliers, sans oublier de reconnaitre la route de la Reice.
Le temps bien que mitigé au départ de Faverges, ne me décourage pas. Par la piste cyclable je rejoins Annecy : Rond point de la côte de l'hopital passé au km 23.4 , me voici parti pour ce fameux Semnoz ou montée du Crêt de Châtillon.
Le temps en frais ce matin, la circulation est minime, les appuis ne sont pas très bons, je suis à la peine, ca va être difficile de monter mes nonantes kilos au sommet.
De nombreux cyclistes montent et descendent sur ces pentes difficiles.
Un groupe de gamins de 14 ans, me passent montés sur des vélos de course équipés de braquets de professionel.
Si les premiers sont de futurs champions, le plus jeune coince : Donne lui tout de même à boire dis-je à Fanette.
Finalement le jeune suit mes conseils et faute demi-tour : bbien vu, sinion il risque le tour de rein à $etre ainsi pendu sur son 44 *21 dans une pente à 10 %
Pour moi, c'est de plus en plus long, le sommet tarde à se pointer, la route est interminanble.
Le vent souffle de plus en plus fort en vue du sommet, de dos heureusement.
La pluie s'invite , un grain passe, me valant une courte saucée, heureusement j'ai eu la bonne idée de prendre ma veste, contrairement à la nuée de cyclistes de tous poils que je croise.
Le col de Leschaux est passé en descente parmi de nombreux cyclistes en goguette.
La rentrée sur faverges s'effectue alors que l'orage menace.
Il fait chaud, mais heureusement en ce moi d'aout l'ombre portée commençe à être intéressante, et procure une douce fraicheur, le Semnoz cachant même complètement le soleil.
Après la courte montée des choseaux qui permet de rattraper le parcours classique du D 912, au kilomètre 1, la montée se fait sans souci, dans une circulation toutefois assez soutenue.
Il faut serrer sa droite et ses fesses afin de ne pas se faire bouter dans les bois du semnoz.
Une bonne vingtaine de vélos croiseront ma route.
Ce 15 aout 2009 je gravis le col de leschaux par la 16 eme variante, la route de la planche
temperature 30 ° c sur le plat , et puis l'ombre de la foret du semnoz rend la montée presque fraiche
cependant l'eau froide qui coule des entrailles du semnoz est bien rafraichissante
retour entre nases qui se croeint permis de rouler en ski a roulette (tenant 3/4 de la piste parmi 10.000 personnes !) et calypiges du tennessie pas desagreable à regarder
6 cyclotouristes seulement dans le col de leschaux
La piste cyclable est bien fréquentée ce matin, peut-être à cause des grosses chaleurs annoncées, la gent cyclote préfèrant rouler à la fraiche
Je dégote le début de la montée à Sevrier, depuis la piste cyclable, route de ... qui permet de traverser la D 1508.
Il suffit de suivre tout droit, sur la route de la planche, chemin de la Reice, interdit aux étrangers, mais autorisés aux masos, qui aiment se taper une bosse à 18 % sur 600 m.
La pente est rude, mais Fanon est costaudes, et c'est le souffle court et le coeur en chamade que nous rejoingnat le D 992 par le chemin des Bernets.
Cette variante, entre sous bois et villégiatures de parisiens a quelques chose de magique.
La route classique , encore fraiche m'apporte une bonne dose de bien être. Ce ne seront pas moins d e50 cyclistes, de tout poils que nous verrons lors de cette matinée.
Mais la chaleur commençe deja à titiller mon gosier, il est grand temps de rentrer en Englannie, d'autant plus qu'une bouteille de Cerdon est prête à bondir du frigo.
Sta matin, il fait deja chaud : je rencontra une charmante dame, la 30 taine, une callypige symapthique , un coup de pédale à faire fremir un sacristain.
Attaquant tout d'abord ce leschaux par la route de la Marteraie (1.2 km à 13 % de .. moyenne) et puis la route classique, ombragée ce ne sont pas moins de 37 cyclistes que je vis lors de la montée et descente de ce col champêtre; dont Vénus.
Retour sur la piste cyclable, arrêt chez mon ami polo,. champion du monde des clm , et partenaire cycliste de jeanie longo.
En 15 mn je compta à st jorioz 107 vtt ou charrues , 17 vélos, 5 rollers, 2 poussettes, 2 mecs à pieds : soit 152 , ce qui fait par extrapolation 6000 personnes par jour.
Autant dire qu'il faut être vigilant et prudent.
Par une forte chaleur , le thermometre de mon compteur indiquant 32.5 ° c à sevrier je tente le col de leschaux par la route des plantees : la bien nommée, planté en effet que je suis avec Fanny 1, ressorti des box.
Et puis par le D 992 classique il fait presque frais (28 °c) (27 °c au sommet du col de leschaux
L'eau de la 2eme fontaine sommitale est juste à la bonne temperature du pastis.
Apres avoir refraichi la bête et arrosé les fleurs de Jeannine, je plonge sur Lescheraines ou le thermometre indique 33.5 ° C
La remontée vers La Motte en Bauges et Bellecombe ravive quelques souvenirs.
La route rapeuse, le vent de face et la chaleur intense me font regretter mon rocking chair.
Mais heureusemnt le sommet est boisé et fort agréable.
Il suffit à présent de se laisiser glisser vers la gouille salée.
Mais deux crevaisons ont le don de me fatiguer et de m'enerver
c'est à plat et cuit comme une chipolata que je regagne mes pénates en englannie.
Heureusemnt le Cerdon et ma datcha sont au frais.
Une bonne salade de tomates du jardin d'Hélène me rechargera en oligos-éléments.
Ce mois de septembre est endorphinatoire : il fait beau et chaud, la lumière se fait plus rase et douce.
La Montée par Endrodozon est d'abord puissance et euphorique, mais rapidement pénible : Mais que le lac est beau, mis en valeur par le vert des champs et des foêts.
La D 902 est deja bien ombragée et fraiche, la route de la Touvière , magnifique est déserte et fleure bon l'herbe et la fougère.
Le village de Leschaux est d'aunat plus sympathique que les gens et gentes dames me saluent.
Ayant honoré la fontaine du col de leschaux, la bascule s'effectue tranquillement vers le lac.
Ce mois de septembre a basculé dans la brume, les premiers signes de l'automne.pointent.
La grimpée de la Reice est vraiment raide sur cette bosse de 850 m à 15 %..
Je reviens alors par la route des Bernets, au camping panoramique pour retrouver un peu plus haut la D 902.
j'opte ensuite par la route de la Bauche, malgré l'effort supplémantaire qu'elle exige. Mais le détour vaut bien un coup de pédale, tant l'endroit est calme et la vue dégagée sur le vallon.
Le temps est mitigé, le vent du sud ne présage rien de bon, la plui devrait enfin faire son apparition.
La chaleur est malgré tout agréable, c'est pourquoi j'enforuche Vérectus jaune et roule tranquilles sur la piste cyclable vers le Big Jump. Le polo a fermé boutique, topo à la main, je donne le tio,de départ en direction de l'église de saint jorioz et de Monnetier, ou le chemin débute en suivant le balisage de l'office du tourisme qui longe le Lauson.
Première constatation : le Laudon est à sec, ou presque, les chemin sont poussiereux.
Le parcours agréable permet de visiter les hameaux cachés et les sous bois de saint jorioz.
Passé Entredozon, le chemin dit de la voie romaine est plus escarpé, les descentes très techniques et dangereuses. Comme je ne vois plus rien, et mon âge avanncé je suis obligé de mettre pied à terre.
La passerelle sur le Laudon marque la remontée vers le haut du vallon : Auc Fournis, je suis donc la ligne du vallon en direction du col de Leschaux.
je retrouve la route au kilomètre 10, soit à 2 kilomètres du sommet , qui sera passé sans oublier de visiter la fontaine post-sommitale.
Je profite du VTT pour basculer par la Touvière et la Bauche vers un chemin escarpé menant au km 8.
Le retour s'effectue dans histoire par le chemin des écoliers sur la voie cyclable déserte.
Options d'options !
L'automne pointe dèjà : l'asphalte est en effet couvert de quelques feuilles, la température est plus fraiche, et l'air humide, les zappuis se font moins francs.
Mais que de monde sur la piste, en ce jeudi après-midi, mais ou sont les travailleufs ?
Annecy est très animé par de nombreux tourisyes en goguette, des groupes de mamies déhanbulent et jacassent sur le quqi de bayreuth.
Sur le d'une belle couleur bleue, s'étendent des zones d'un vert très clair comme les yeux révolver.
La circulation assez chargée sur la route de Sacconge est pénible à supporter, mais passé Viueugy , la route qui mène à Quintal est plus calme.
Je découvre de nomreux immeubles construits ces dernières années , ayant un peu délaissé ce circuit classique des années 80.
Les villages et hameaux qui s'égrénnenent dans la belles cmapgne , sont très mignons : les fontaines, les fleurs qui agrémentent les belles fermes en pierre de taille donne un aspect un peu kisch à cet endroit, mais assez agréable, d'autant pplus que la camapgne est d'un joiki vert.
Les Tours st jacques sont impressinantes au dessus d'Allèves.
Col de leschaux : sept, indique la pancarte de la Charniaz, et même si je suis peid nus dans mes godasses, le col pourant peu pentu, est assez pénible ç gravir, fréné par un fort vent du Nord.
Un peu cuit je stoppe à la ferme située peu avant le sommet pour acheter une Abondance et une tomette à 17 euros le kilo alors qu'en favergie elle se négocie à 20 euros.
La descente vers Endrodozon est d'abord froide dans le fôret de sapins , puis beaucoup plus douce sur les bords du lac.
Restent à parcourir :